Entretien de Cotton avec une photographe : Maren Krings

Cottons Interview mit einer Fotografin : Maren Krings

La photographe allemande Maren Krigs réalise des photographies depuis ses 16 ans. Lebensjahr. Elle a depuis longtemps des magasins en Allemagne et en Autriche et elle dit que la photographie est son passeport pour le monde et tous les sujets qui l'intéressent. Nous vous invitons à découvrir les moyens que vous avez mis en œuvre pour obtenir le "coup de foudre" ! Voici notre nouvel entretien avec un photographe.

Porte-coton : Comment êtes-vous arrivé à la photographie ?

Krings:Mon intérêt pour la photographie est né d'un séjour d'études aux États-Unis, qui m'a donné la possibilité de participer à tous les concours de photographie. En 2000, j'ai commencé mes études au Savannah College of Art and Design avec pour objectif la photographie, et je les ai terminées en 2003. Depuis, je travaille professionnellement comme photographe et artiste.

CC: Comment définissez-vous votre style en tant que photographe ?

K: Naturellement, je suis inspiré par la vie ! J'ai envie de dire que je suis photojournaliste, documentariste et historien, mais il y a aussi d'autres aspects de l'art et de la peinture. J'aime être au courant et surtout j'aime que mon appareil photo soit un passage pour voir tout ce qui m'intéresse. Fragen, Abenteuer, Dinge offenbaren, den Elementen nahe kommen.

CC: Où photographiez-vous le plus souvent ?

K: Meine Lieblingsmomente entstehen normalerweise, wenn eine ganz besondere Lichtsituation eintritt ... dann fange ich an, hinter meiner Linse zu brennen und die Dinge beginnen, von selbst zu laufen.

CC: Comment la photographie s'est-elle imposée à vous ?

K: La photographie est ma vie ! Au début, c'était un traumatisme pour moi, puis c'est devenu l'objectif officiel de mes études et, aujourd'hui encore, je me rends compte que chaque tour de taille, qui s'inscrit dans ma vie, se fait grâce à ma photographie ou grâce à mon appareil photo, qui me permet d'effacer tout ce qui s'est passé, est effacé.

C'est la raison pour laquelle je dois m'occuper de moi tous les matins et tous les soirs depuis mon bureau, ou encore la raison pour laquelle j'ai beaucoup de travail à faire, afin de réaliser des photos qui me touchent de très près. En outre, la photographie m'a permis de vivre une vie très agréable, en me donnant la possibilité d'exprimer mes propres idées et de créer mon propre témoignage, ce qui, avec l'autodiscipline et la nécessité d'un travail plus dur et plus engagé, est également le cas.

CC: Vous faites preuve d'un tel sens de l'humour, c'est fantastique ! Quels appareils et objets utilisez-vous ?

K: Je travaille aussi bien avec Canon qu'avec Fuji Eos 5Dsr (sous les autres modèles) avec 17-40 mm, 52 mm et 70-300, ainsi qu'avec Fuji Xt-2 (surtout 18-55 mm et 55-200 mm).

CC: Qu'est-ce qui a été le plus grave, que Sie jemals getan haben, um den Schuss zu bekommen?

K: Ce document contient des impressions sur mon deuxième livre, pour lequel j'ai travaillé de 2012 à 2014. J'étais avec des équipes d'intervention dans les montagnes du Tyrol. Es gab viele Shootings, die in die Kategorie verrückt fielen. Zuerst wurde ich zusammen mit einem anderen Bergretter in einem winzigen Loch unter meterhoher Schneedecke verschüttet und von einem Lawinenhund probeweise gerettet !

Dans un deuxième temps, il s'est accroché à l'un des hubschraubers d'une longueur de 12 mètres, tandis que trois autres enfants, dont leurs frères, se trouvaient sous le hubschrauber à angle droit dans le Kreis. Während ich versuche, die Orientierung nicht zu verlieren und die Kerle und Mädchen zu erschießen, die sich alle an mich klammern, mit nur wenigen Zentimetern Abstand voneinander.

Und drittens : Canyoning avec les bergers, descente de falaises de 70 mètres de haut, baignade dans l'eau sur le toit et baignade comme un mur sur le sol et sur la falaise, baignade dans l'eau sauvage avec une boîte à gants.

CC: Non, cela s'appelle définitivement une erreur de parcours ! Qui vous a inspiré en tant que photographe ?

K: Sebastião Salgado m'a inspiré par sa beauté inégalée, qu'il met lui-même en scène dans des situations dramatiques. Robert Capa m'a également inspiré en me montrant qu'il était immergé dans le monde et qu'il pouvait se fier à lui pour faire partie du processus et pour faire preuve d'un enthousiasme et d'une passion personnels pour la photographie.

CC : Quel rat souhaitez-vous donner à un autre photographe ?

K: Soyez authentique, ne vous laissez pas influencer par les tendances visuelles actuelles... elles se situent souvent entre nous et notre vision ! Motivez-vous et allez de l'avant. Le marché est difficile, car tous les photographes s'y retrouvent. Il est donc d'autant plus important d'avoir une solide formation et un bon parcours dans la photographie et, surtout, d'avoir une volonté farouche.

CC: Pouvez-vous ajouter une source de photos que vous utilisez personnellement ?

K: Je m'efforce de collaborer avec de nombreux autres spécialistes des activités de plein air. Enecco_outdoors est un vaste réseau de travail qui rassemble des photographes, des cinéastes, des repéreurs, des mannequins, des agents et des entreprises de plein air. (http://enecco.de)

Une autre possibilité intéressante consiste à trouver des entreprises qui m'apprécient, à travailler avec elles et à les aider... Cela vous permettra de vous associer à de nombreuses personnes. En outre, j'aime la culture de l'image, les photos de la presse mondiale et les réseaux qui en découlent.

Pour en savoir plus sur les travaux de Krings, rendez-vous sur le site :

Site web : www.360-photography-mk.de

Instagram : https://www.instagram.com/maren_krings_photography/

Facebook : https://www.facebook.com/360marenkrings

L'image de @Daniel-Gollner